• Je me devais de faire un article sur ce jour si important.

    Oui, non parce que quand même, quand progéniture entre

    à l'école, sa toute première fois, c'est quelque chose!

     

    Le pire? C'est qu'elle semblait heureuse. Oui, cette petite

    traitresse pétait le feu alors que moi je lutte contre les larmes depuis 

    facile deux mois.

    On est arrivé à l'école, j'ai cru qu'on serai en retars, la pauvre,

    j'avais oublier les lingettes et les mouchoirs. Heureusement que l'école n'est pas loin!

    On à fait demis tours, je voyais dans ses petits yeux quelle avait peur.

    Probablement d'être en retard. Je lui ai promi que non.

    Je tiens toujours parole.

    On est donc arrivé à l'école, à peine dans la cours, elle essaie de me lâcher et me dit

    au revoir maman.

    On ce calme, petite chose!

    Je lui dit que je dois l'amener à sa classe. 

    On vois la maîtresse, elle me dit de lui retirer sa veste et d'aller lui laver les mains.

    On y va. Et puis on arrive dans la classe et elle ce sauve.

    Bordel que j'ai eu du mal à lui lâcher sa petite main!

    Mais je l'ai fait, et elle s'est sauver dans le fond de la classe pour revenir avec une poupée.

    Je donne les affaires de la petite et la maitresse me sourit.

    Ce genre de sourire qui veux dire MAIS CASSEZ VOUS BORDEL!

    Je me met à genoux et dis au hobbit 

    Tu vas aller jouer...

    Et elle s'est sauver. Le reste de ma phrase n'est jamais sorti.

    Je n'ai pas pu lui dire et je revien te chercher ce midi.

    Non. Mais elle le sait. Elle dois le savoir. Je lui ai dit toute la journée hier.

    Et je suis rentré. Croisant d'autre mamans zombies.

     

    Et je suis rentré. Et c'était calme. Trop calme. Trop bisarre. 

    Et je me suis occuper. Plein de choses à faire. Et je suis là.

    J'attend que les dernières 30 s'égrainent.

    Lentement. Trop lentement. 

    J'ai déjà envi de la récupérer.

     

    J'étais pas prête.

    Les dernières semaines sont passer trop vite.

    Entre le déménagement, les démarches, les inscriptions à la dernière minutes.

    Je n'ai pas souffler. Et me voilà. 

    Après avoir postuler à moult job alimentaire. 

     

    Vivement les vacances. J'éspère presque ne pas avoir trouver de travail d'ici là...


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  • Ca fait un baille que j'ai rien poster. 

    Mais je pense que ça va changer.

    Beaucoup de choses me sont tomber sur le choux, j'ai eu besoin d'encaisser. Et aujourd'hui, faire face à ma nouvelle situation.

    Je suis officiellement parent solo. Youpi tralala... 

    Rien que de dire parent solo, ça me fait chialer. J'arrive pas à m'y faire. Je vais donc probablement me servir de ce blog 

    comme d'un journal, un exutoire. 

    Bon après, parent solo... Ca fesait un moment que je m'y attendais. Mais ça fait toujours mal. 

    Donc je me trouve seule avec une enfant, sans taf, sans ami et sans qui sur qui compter. Je pense remonter dans le 

    Nord, ma terre natale. Ca me fait chier, mais au moins j'aurais mes tantes sur qui compter. 

     

    Puis il me reste que ma mère, la folle furieuse qui est quelque peu déranger du ciboulot et ma soeur. Les deux courrageuses qui 

    ont battues un hommes fraichement opéré du dos. Ouai, j'ai des gène de gangster dans la famille. Ca crain hein?

     

    Enfin voilà, petit intro de ce qui vous attend.

    Je pense ouvrir un insta, et pour m'aider à penser à autre chose, passer le cap, exorciser le truc et soutenir les autres mams qui sont dans 

    la meme situation que moi.

    On vera.

    Bisous à vous les mams pas parfaites.

     


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  • Je ne sais pas si ce texte servira à quelque chose, mais en toute honnêteté, j'ai besoin de l'écrire. 

    J'ai toujours été une personne étrange, isolée, sans amis, seule. Quand par miracle je me fais des amis et qu'il se passe quelque chose qui ne me plaisais pas, au lieu d'en parler, je m'éloignais. Ce qui finalement me renvoyais au le schéma de solitude. ( Bon en réalité, ça n'est arrivé qu'une fois. Le reste du temps, je me tais. C'est con hein?) 

    Ma mère me disais aussi que j'étais trop souvent dans ses jupes et que je ne faisais que pleurer. L'école à dit à mes parents que j'étais étrange et que je devais voir un psy. On y est aller. Je suis restée là, sans rien dire. Terrifiée. Mes parents près de moi. Puis seule à la demande de la psy. Elle m'a demander de parler, puis ce fameux "test du dessin". Elle l'à regarder longuement mon dessin. Je ne le trouvais pas spécialement beau, j'ai juste dessiner. Une maison, un arbre, mes parents, ma sœur. Je ne me souvient plus trop si j'avais mis le soleil dans le coin, mais je me souviens qu'il y avait des nuages sombre, gris ou noir. 

    Elle à montrer mon dessin à mes parents et je ne sais pas pourquoi, mais j'ai eu peur. Mon père était furieux. Ils n'ont pas laisser le temps à la psy de finir, ont emporter les manteaux et nous sommes sorti rapidement. Arrivée dans la voiture, mon père m'à disputé. Je me souviens encore de son air rouge et de son doigt menaçant pointé vers moi. Plus vraiment de ce qu'il disait. Je me souvien avoir pleurer sur tout le trajet sans vraiment comprendre pourquoi j'avais été disputé. Plus tard, il est revenu dessus; apparement la psy à dit que si j'allais mal, c'étais leur faute. La sienne. 

    Je n'ai pas revu la psy, pourtant, elle était gentille, j'avais peur d'y aller, mais les deux seules fois où j'y suis aller, je m'étais sentie plus légère, pourtant je n'avais juste que dessiner. 

    Beaucoup de chose me semble anormal, pourquoi je suis si triste? J'ai l'impression que quelque chose ne va pas chez moi. Comme une boule dans la poitrine ou dans la gorge. Je reste renfermée. Je participe pas à l'école. Je suis trop bête. Pourtant j'aime beaucoup lire. C'est chouette les livres, ça fait disparaître la boule dans ma poitrine. Pendant la leçon, je ne pense qu'aux livres. Ce que je vais découvrir durant les aventures de mes héros. Pendant toute la primaire, ça à été Harry Potter. Ensuite au collège, quelque chose de plus fou, avec des histoires de monstres, de créatures fantastique, des dragons, des rois, des princesses, des fées, des elfes... 

     

    A la maison, ça à toujours été étrange, d'ailleurs, je n'y étais pas bien. J'ai bien nul part. Peut être juste dans ma chambre. Personne n'y venais. Je m'efforçais d'oublier mes rêves effrayants. 

    Une fois, j'ai fais un dessins. Je l'ai cacher, sous ma couette. Je me souviens que je ne l'avais pas terminé. Maman m'appel pour venir manger. puis je fini la petite maison dans la prairie. Pendant ce temps, elle fais les lits. J'étais encore petite, peut être vers le début du primaire. Je me souviens du contenu du dessin, c'étais ce qu'on appellerais de l'abstrait, les formes des corps emmêlé ressemblaient aux demoiselles d'avinons, mais emboités les uns dans les autres. Ma mère m'à appeler et à brandit le dessin. Je savais que c'étais mal, pourtant je lai dessiner, comme si quelque chose voulais sortir de mon esprit. Elle m'à interdit de refaire ce genre de dessins, agrémenté d'une engueulade et d'une gifle monumental. Probablement une des rares fois où elle m'à gifler. Ca, c'étais la spécialité de son mari. Mon père. Depuis la fois où il m'à envoyer son coup de poings après un pauvre bonjour papa, mon nez saigne sans forcément de causes. Le docteur veux le faire cautérisé, mes parents n'en voient pas l'intérêt. Moi, ça me fais peur. Pourquoi vouloir me brûler l'intérieur du nez?

    En grandissant, je me suis rendu compte que j'avais peur. Cette boule qui était devenue aussi familière que ma main droite, gonflait à m'en couper le souffle quand une situation me devenait anxiogène. Je finissais par pleurer. Evidement ça ne me soulageais pas. 

    Avec le recul, en devenant adulte, je me suis donc simplement catégorisé hypersensible. Mais il y avais quelque chose d'autre. Quelque chose que j'ai très longtemps pris pour un mauvais rêve. Où un film bisard que j'aurais vu. Sauf que non. Pas vraiment. Ce rêve, il y en à plusieurs dans le genre en fait. Le premier, où je suis juste avec mon père, je crois. C'est vraiment flou. Ce qui ne l'es pas vraiment, c'est qu'il veux que je regarde ce qu'il à dans la main, puis que je le touche. Mais je ne veux pas. C'est bisard. Et franchement, ça me fais peur. Pourtant j'obéis, parait que les enfants sage, les bons enfants écoutent leurs parents et font ce qu'on leur dire. 

    L'autre rêve est bisard aussi. Je n'arrive pas à dormir, alors mes parents m'assoient sur une chaise et fixent une ceinture juste sous mes épaules. Je pleurs, et fini par m'endormir, puis me réveiller dans mon lit, au petit matin, en me disant que j'ai fais un cauchemars.

     C'est à partir de là que la boule est arrivée dans ma poitrine et ne m'à plus lâchée depuis. 

    J'ai aujourd'hui 25 ans, bientôt 26, je suis mère d'une petite fille. Ma plus grande peur est que quelqu'un fasse du mal à ma fille. 

    Hier, en discutant avec une de mes cousines, sa mère étant le frère de mon père, j'ai découvert que dans la famille, un de nos oncle, un des frère de nos parents donc, à été incarcéré en 2017 pour acte de pédophilie sur ses petits enfants. Mon sang s'est alors figé. Mes larmes ont coulé. J'ai eu la nausée. Et j'ai compris. 

    Ce n'étais pas des rêves. Un enfant de 3 ou 4 ans ne peu pas rêver que son père lui demande de toucher son sexe. Ne peux pas rêver qu'elle est assise, attaché par une ceinture à une chaise, pleurant toutes les larmes qu'il est possible d'avoir dans le cœur jusqu'à s'endormir d'épuisement. Un enfant dont l'âge dois être autours de 5, 6 ans ne dessines pas de corps étroitement enlacé en plein missionnaire. Un enfant ne dois pas avoir de boule dans la poitrine. Il ne dois pas pleurer sans savoir pourquoi. Il ne doit pas se sentir malheureux, anormal où même étrange. 

    Hier, j'ai compris pourquoi j'avais tellement peur des gens. Pourquoi j'ai tellement de mal à confier mon enfant qui depuis sa naissance n'est presque resté qu'avec moi. 

    J'ai découvert une fêlure en moi, et je ne sais pas comment la réparer. Je sais que si j'en parle au père de ma fille, il haussera les épaules en soufflant, avant de dire " n'importe quoi, ce que tu peux en dire comme conneries". Je n'ai aucuns ami à qui en parler. Alors, de manière anonyme, je vais le partager. Parce que je trouve que c'est trop grave, et trop important. Que ce genre de chose ne devrait jamais arrivé. Que ce genre de chose ne devrais pas rester sans conséquences. Que si vous avez vécus des choses similaires, ils faut en parler, voir porter plainte. 

    Personnellement, je ne vais pas le faire. Je devrais probablement. Mais 23 ans plus tard? J'ai couper les ponts avec ma famille proche ( ma mère, mon père, ma sœur) depuis mes 18 ans. Et porter plainte implique que je dois revoir mes parents, et je n'en ai pas la force. 

     

    M


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  • J'avais envi de parler de plein de choses qui ont fait ce que je suis et d'autres choses, comme l'éducation bienveillante, le Montéssori et toutiquanti. Mais je vais vous parler de relation toxique. Pourquoi? Parce que je suis en plein dedant. C'est quand même hyronique quand on y pense parce que j'en avait une avec ma famille. C'est pour ca que j'ai couper les ponts. Sauf que là c'est plus dure, simplement parce que j'ai progéniture. 

    Quand je pense que j'ai eu un enfant avec lui, ça me rend folle, pourtant j'étais folle de lui. Avec le recule, je me dis que j'ai été foutrement conne. Faut dire qu'il était différent, où du moins, semblait l'être. Il était si attentif, si gentil, doux. Le genre de gars qui fait tourner les tête. C'était trop beau pour être vrai. Mais j'étais stupide et surtout naïve du haut de mes 16 ans. 9 ans que je connais cet homme. 8 ans de vie commune. Je ne serais pas capable de dire quand ça à commencer... La crise qu'il à fait quand je lui ai rapporter un croc monsieur au lit? Quand il m'à hurler dessus parce qu'il avait perdu ses papiers? J'en avait tellement pleurer à l'époque... J'aurais du m'en rendre compte. Mais j'avais 18 ans depuis peu... J'étais naïve et amoureuse... C'est durant ma formation, il y à bientôt 4 ans que je me suis rendu compte que quelque chose clochait... Quand je parlais de lui à mes collègues, ils fesaient une tête bisars. On m'à dit "l'es chelou ton homme". "L'es con!" " complètement taré". "Moi ça passerais pas." Plus j'en parlais et plus j'avais ce genre de réflexion. Et je l'ai rencontrer. Un gars absolument génial. Quelque chose de fou est arrivé. Je me suis ouverte à lui avec une facilitée déconcertante. Je lui disait tout, comme si on se connaissait depuis toujours, comme si... Je sais pas... Mais c 'était fou. Je suis tomber amoureuse de ce gars. Mais il m'éffrayait un peux. 

    Ce qui m 'éffrayais, c'étais qu'il soit polygamme. A l'époque ca sonnait comme quelque chose de mal pour moi. Enfin... Polygamme. Il avait " sexfriends dont j'étais horriblement jalouse. Et puis y avait cette fille qui fesait battre son coeur. Enfin bref... Ce gars m'a complètement ouvert les yeux. Il m'à clairement fait comprendre que tout ce que je vivais n'étais pas normal. Je sais même pas si il en à conscience. 

    A ( le toxic) a vite été jaloux de G ( je dois vraiment dire de qui il s'agit?) et m'à interdit de lui parler. Oui oui, il m'à interdit. Qu'est-ce que j'ai fais? Bah j'ai obéis. J'avais peur. C'est con hein... G m'offrait l'asil chez lui alors qu'il vit à l'autre bout de l'héxagonne. Je voulais laisser une chance à A...

    Je suis rapidement tomber enceinte. Je m'en suis rendue compte en perdant l'enfant. Puis je suis tomber enceinte de nouveau. Tout allait bien. Tout allait mieu. J'étais malade comme une bête. Les seuls fois où je ne pensais pas à mon enfant à naitre je pensais à G. 

     

    Après la naissance de prgéniture, A est redevenu égale à lui même. Non... En fait il est pire. Ca fait à peu près 1 ans que l'idée de le quitter à commencer à germer dans ma tête. A présent, je suis certaine de ce que je veux. A savoir le quitter. Vaut mieu tard que jamais hein... Le problème, c'est que je n'ai pas le permis, ni d'emploi. J'ai 25 ans et je dois tout faire, trouver un appart, faire mes démarches d'aides socials pour me remettre sur mes railles, comme une jeunette qui quitte le nid famillial... 

    Non ce qui me bloque c'est la trouille. J'ai cette sensation de culpabilitée qui me bousille de l'interieur. J'ai l'impression de bousiller une famille. J'ai une boule constante dans la poitrine, parfois j'ai l'impression d'étouffer. Les reflexions me donnent le besoin de partir, puis je me calme, et cette petite voix dans ma tête me dis que c'est pas si grave après tout. J'ai besoin de le quitter, mais j'y arrive pas. 

    C'est horrible parce que là, je suis seule avec progéniture, il est en déplacement. Et je suis bien. pas de boule dans la poitrine, mon acnée rétentionnelle disparait étrangement. J'ai passer une journée génial avec progéniture, qui dors profondément et qui n'à pas réclamer son père. 

     

     

    Très honnêtement, j'ai envi de me mettre des claques, de m'attrapper par la tête et de me fixer dans les yeux et de dire "putain mais bordel t'attend quoi? Qu'il te pousse à faire une connerie?! Il t'aime pas! Il te veux juste pour la baise! ( d'ailleur il à du mal avec le fait de ne pas avoir fait quoi que ce soit depuis 2 mois, depuis que nous avons discuter d'une séparation)

    Enfin voilà, tout ça pour que si un jour je suis lu par quelqu'un dans la même merde que moi, va voir des assistantes social, demande de l'aide, c'est pas une honte. Au contraire, demander de l'aide c'est toujours une bonne chose. Certains me jugent peut être, sans savoir ce que c'est. D'autres savent peut être. Sachez juste que c'est une chose qui peu sembler simple et stupide, mais ca ronge de l'interieur. 


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  • comme promis, un petit article sur l'allaitement. 

    Alors bon, c'est assé simple à deviner, oui, j'ai décider d'allaiter ma fille et j'en suis fière. Non je ne suis pas anti bib, tant que bébé est nourris c'est le plus important.

    Mon allaitement à été un peux compliqué à mettre en place. A la mater, les sage femmes me tripotaient les seins au moins 1 à deux fois par jour, pour vérifier la montée de lait. Chose qui me mettait mal à l'aise, même si elles m'ont toujours demander à permission. J'avais, comme toute maman novice, un doute sur ma capacité lactifère. J'ai même donner deux fois un complément artificielle, désemparée de ne pas comprendre pourquoi ma fille pleurait. C'est vrai, elle avait passer un temps incroyable au seins, sa couche était propre, son bidon, vidé de méconium. Je ne comprenais pas. Au début, quand les auxiliaires puer me proposaient, je disais non, terrifiée de foirer mon allaitement. Et puis j'ai céder. Et voir ma princesse dormir, gavée de ce lait m'à fais culpabiliser. Pourquoi mon lait ne lui suffis pas? J'en ai au moins? J'ai pleurer. Mon bébé dans les bras, endormie, une petite goûte de lait perlait encore sur sa petite lèvre entre ouverte.

     

    Oui, c'est bien après que j'ai appris que l'éstomac d'un nouveau né fait la taille d'un dé à coudre. Puis d'une noix. Pas vraiment étonnant que bébé cris famine après une demi heure. Parce que, le lait maternel se digère en 20 minutes! Pourquoi à mon info allaitement ça n'a pas été dis? Pourquoi je n'ai pas été prévenu? Ca m'aurais quand même évider de flipper!

    A la maison, j'ai fais acheter une boite de lait en poudre au papa de ma fille. Au cas ou, histoire de me rassurer. Même si la pédiatre qui suivait ma fille m'a dit que c'étais innutile. Elle comprenait que j'avais besoin de cette bouée de sauvetage. 

    Mettre un allaitement en route, c'est compliqué. La montée de lait, l'apprentissage des positions, l'instalation et la technique à prendre... Et puis la position de la bouche. Enfin bref, c'est peut être naturelle, ça n'est pourtant pas inné. Et puis comme si ça ne suffisait pas, il y à les couak. Les problèmes de freins de lèvres et de langue, qui empèchent une succion correct. Les crevasses, les seins gorgé... Un vrai bonheur...

    Alors mesdames messieurs, voici quelques tips qui m'auraient sauver la vie si j'avais su!

    1) Messieurs, SOUTENEZ MADAME. Oui, c'est ultra important. Vous êtes là, un peu démunie avec vos tétons innutiles. On comprend que vous aussi vous voulez faire des truc sympa avec Progéniture.  Vous pouvez donner le bain, un moment génial ou en général bébé se détend à mort. faire les couches, oui c'est pas top, je me souvien d'un fois un Progéniture à ris, petite crote missile. Merci bébé, moi aussi je t'aime. Plus tard, lors de la divercification, vous pouvez donner vous aussi les purées et compotes. Dites à votre chere et tendre qu'elle est belle, qu'elle déchire, qu'elle est fabuleuse. Même si elle n'à pas pris de douche depuis 3 jours, qu'elle pue, qu'elle à le poil long et gras, qu'elle à les cernes noir et bien incrusté, que ses fringues sont sales et tâchée. Même si vous avez l'impression que vous en faites des caisses, que vous croyez qu'elle le sait, dite le. Le début de l'allaitement, mêlé au post partum eset une peride horrible poour nous. On se sent moche, dégueulasse, le bide pendouille, on se sens sale, fatiguée, au bout de notre life. Bref, on ne sais pas comment on fais pour tenir, mais on tien.

    2) Les têtons, prenez en soin. Je conseille le coquillage d'allaitement. Surtout au début, quand le têton est sensible. Il "macère" dans le lait qui est blindé de bonne choses. Le lait, c'est magique! VRAIMENT! Il va aider à cicatriser les crevasses ( j'était à sang des deux coté, en 2 jours, plus rien!) appaisé le téton. Bref, magique.

    3)  Le chou! Alors je n'ai pas tester, mais il semble que se foutre deux feuilles dans le soutif aide. Sinon, les poches de froids.

    4) la cloque de lait. C'est un petit point blanc sur le téton. Une cloque. Elle empèche le lait de sortir et ça créer un engorgement. Une aiguille stériliser, et on exprime le lait! Soulagement immédiat.

    5) L'engorgement. Cauchemars de toute nichonante. En général sous le sein, à cause du soutif ou d'un mauvaise position pour dormir. Le canal lactifère est bouché et le lait à sécher. Douche chaude et expression manuelle. La technique du verre d'eau est très efficace. Evidement on fait têter bébé plus souvent sur le seins bouché. Ensuite on ralenti progressivement, histoire de pas avoir de sur stimulation. 

    6) Cododo. Evidement, le fameux cododo. Toujours au coeur du débat. Alors je comprend parfaitement les mams qui sont contre. J'en fesait parti. J'ai abandonner mes résolutions après moins d'une semaine. Honnêtement, ça m'a sauver la vie. surtout au début, quand bébé demande à manger 70 fois par 24h. 

    Je pense avoir tout dis... Si j'ai fais un oubli quelconque, les commentaires sont là. Evidement, je ferais les corrections qui s'imposent. 

    Bisoux!


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